mardi 30 janvier 2018

Notre action de ce 30/01 pour le rétablissement du jour de congé supprimé par le CA :


Notre action de ce 30/01 pour le rétablissement du jour de congé supprimé par le CA :
 
A l’occasion de la première réunion à laquelle participait Mme Houba, notre nouvelle présidente du Conseil d’Administration, les affiliés de la CGSP ont tenu à l’interpeller personnellement par rapport à la décision imbuvable de notre CA de nous supprimer un jour de congé pour cette nouvelle année 2018.

Nous étions plusieurs dizaines à nous être mobilisés pour tenter de lui faire comprendre que l’orientation et les choix opérés actuellement par la direction nous étaient insupportables. Nous lui avons remis une lettre ouverte que vous trouverez ci-dessous et via ce lien si vous souhaitez la télécharger et la distribuer autour de vous.

Nous espérons sincèrement que Mme Houba ouvrira un véritable dialogue avec vos représentants syndicaux pour enfin s’attaquer frontalement aux problèmes que nous rencontrons quotidiennement ainsi que pour prendre en compte les revendications légitimes du personnel.
A suivre…

LETTRE OUVERTE DES AFFILIÉS DE LA CGSP À MADAME DELPHINE HOUBA, NOUVELLE PRÉSIDENTE DU CA DU CHU BRUGMANN :

30/01/2018
Mme Houba,
Nous prenons le temps de vous écrire ce courrier pour tout d’abord vous souhaiter la bienvenue au sein de notre institution en tant que nouvelle Présidente du Conseil d’Administration. Les affiliés de la CGSP en profitent pour vous interpeller pour vous communiquer leur vécu et leurs légitimes revendications.

Vous prenez votre fonction après les scandales à répétition concernant les rémunérations de nombreux mandataires politiques au sein de structures publiques bruxelloises. Ces affaires ont aussi malheureusement touchées notre institution pendant de trop longues années. Ces révélations nous ont choquées ici à Brugmann et dans le réseau IRIS. Cela contrastait effectivement fortement avec notre vécu et nos salaires.

Vous avez déclaré dans un article du Soir qu’il était encore tôt pour définir vos priorités et que vous prendrez le temps pour écouter et prendre connaissance du contexte, que le patient doit avoir priorité et que Brugmann, comme hôpital public doit être ouvert à tous les patients.

Nous aussi, en tant que travailleurs syndiqués, nous pensons que le patient doit être au centre de nos préoccupations et que notre hôpital puisse octroyer des soins de qualité à tous. Mais pour que cela soit une réalité et non un slogan creux, il est nécessaire que les conditions de travail soient aussi de qualité et que chaque membre du personnel puisse se sentir bien et s’épanouir dans sa fonction. Nous sommes malheureusement de l’avis que ces dernières années, la situation s’est sérieusement détériorée. La situation de sous-effectif récurrent, l’ensemble des efforts imposés au personnel ainsi que la surdité du CA aux revendications du personnel ont sérieusement miné l’ambiance de travail et ont un impact sur la qualité des soins octroyés. En d’autres mots, nous sommes à bout !

Sous effectifs et Heures supplémentaires :
Nous vous invitons à faire le tour de nos services, à discuter avec nous, à lire les nombreux rapports des visites annuelles qui font état d’un sous-effectif chronique dans quasi l’ensemble des services de notre institution. Cette situation est intenable et la réponse de la direction est toujours la même : « Nous n’avons pas de budget ».

A force de presser le personnel à ce point, la situation devient compliquée pour les travailleurs et surtout pour les patients qui sont confrontés à un personnel épuisé. C’est dans ce cadre qu’il faut alors comprendre l’explosion de nos heures supplémentaires. Nous n’avons pas de chiffres précis (vu que le logiciel de gestion de nos heures ne le permet toujours pas) mais il semble que ce nombre est très élevé, beaucoup trop élevé.

Mais le plus grave est que ces heures ne sont aujourd’hui même pas gérées, rémunérées et revalorisées comme notre propre règlement de travail le prévoit. Cela fait longtemps que nous interpellons la direction à ce sujet et à ce jour aucune réponse sérieuse ne nous a été donnée. Nous dénonçons aujourd’hui ce vol organisé par les directions depuis trop longtemps.

Management répressif :
Nous n’aurions pas assez de dizaines de pages pour expliquer les attitudes managériales douteuses auxquelles nous faisons face. La pression systématique semble être le seul moteur d’une grande partie de notre management. Il y a quelques années, nous avions mené plusieurs actions pour exiger du respect de la part de nos responsables. Aujourd’hui, la situation ne s’est malheureusement pas améliorée : menaces en cas de volonté d’agir syndicalement, propos déplacés, chantages et menaces quant à notre emploi, rapports circonstanciés à outrance pour chaque faits et gestes, …

Mais rarement un mot pour soulever le bon travail fourni quotidiennement par l’ensemble du personnel ! Il n’est dès lors pas étonnant de constater une explosion des problèmes psycho-sociaux, burnouts, turnover important, … Il est temps que la direction applique des mesures sérieuses de prévention contre ce type d’agissements !

Bas salaires et programmation sociale :
Dans ce contexte très difficile, nous tenions aussi à vous interpeller concernant notre réalité salariale. En effet, alors que certains membres du CA empochaient des sommes d’argent importantes ces dernières années, nous, membres du personnel avons vu notre programmation sociale supprimée par ces mêmes individus. Nous prestons aussi de nombreux horaires inconfortables très faiblement rémunérés (gardes appelables, nuits, week-ends,…).

Nous faisons alors face à un refus systématique de discuter d’une importante et nécessaire revalorisation de nos barèmes compte tenu de l’écart important entre les nôtres et ceux des autres régions du pays des mêmes secteurs publics. Finalement, certains de nos collègues travaillent toujours en grade E qui ne permet pas aujourd’hui d’avoir une vie décente à Bruxelles.
Nous espérons dès lors pouvoir enclencher avec vous des discussions sérieuses à ce sujet afin de trouver des solutions ouvrant une perspective de réelles avancées salariales pour l’ensemble des travailleurs de notre institution. Nous comptons aussi sur vous pour relayer et défendre ces demandes auprès des responsables du réseau IRIS.

Suppression de notre jour de congé :
Alors que le gouvernement fédéral a décidé des économies inhumaines dans nos soins de santé, nous avions discuté ouvertement avec la direction des impacts que cela aurait sur notre institution. Nous avions dès lors mis en garde, que compte tenu de la situation déjà très difficile pour les travailleurs de l’institution, nous n’accepterions aucune économie sur le dos d’un personnel déjà à bout. La direction nous avait assuré qu’il n’y avait aucune volonté à faire porter au personnel quelque économie que ce soit et que tout serait discuté avec les représentants des travailleurs.

Quel ne fut pas notre surprise quand en cette fin d ‘année 2017, la direction nous annonce que le CA a pris la décision de nous supprimer un jour de congé sans le communiquer explicitement au personnel. Vous comprendrez bien que pour nous, cette décision est imbuvable. C’est en effet toujours aux mêmes de subir et d’accepter des reculs sociaux inadmissibles. Dans la situation décrite ci-dessus, il nous semble d’autant plus que le message de la direction se renforce : « faire toujours plus avec toujours moins de personnel et avec encore moins (déjà qu’il ne nous restait pas grand-chose) d’acquis sociaux ».

Nous remarquons en tout cas que ce Conseil d’Administration a une drôle de façon de remercier les travailleurs pour les efforts accomplis. Ou peut-être que compte tenu de la difficulté de plus en plus grande pour les travailleurs d’obtenir des congés, le CA s’est dit que la meilleure idée était de nous en supprimer ?? Bref, notre message est donc très clair : gardez vos sacs à dos et autres petits cadeaux et rendez-nous notre jour de congé !

Nos revendications :
Madame Houba, la presse vous présente comme quelqu’un de progressiste et qui souhaite aller de l’avant pour la défense de nos hôpitaux publics. Sachez qu’aujourd’hui à Brugmann, la mentalité ambiante ressemble plus à une logique marchande (chiffres, statistiques,…) plus proche d’une mentalité du privé que de ce que devrait être une institution publique. D’ailleurs le terme « manager », et bien d’autres utilisés aujourd’hui, témoigne de la déshumanisation rampante de nos institutions. Certains « managers » ne se cachent d’ailleurs plus et appellent le personnel à se détacher de l’idée de service public qui les auraient imprégnés jusqu’à maintenant.

Nous espérons donc que votre arrivée pourra sérieusement insuffler une nouvelle et nécessaire orientation à la direction de notre institution. Voici donc pour conclure les revendications que la CGSP souhaite rapidement discuter avec vous :

* Pour de vrais soins de qualité aux patients, engagements urgents de personnel au chevet du patient avec des CDI. Stop aux contrats précaires !
* Réduction collective du temps de travail avec embauches compensatoires et sans perte de salaire !
* Rétablissement de la programmation sociale !
* Rétablissement du jour de congé supprimé par le CA !
* Revalorisation salariale pour tous les barèmes avec priorité aux bas salaires. Suppression du grade E (déplacer vers le grade D) !
* Revalorisation sérieuse des gardes appelables !
* Le payement de nos heures supplémentaires comme notre règlement de travail le prévoit avec effet rétroactif !
* Du respect pour tous les travailleurs, assez de ce management autoritaire et répressif !

Toutes nos salutations militantes,
Le comité de la CGSP Brugmann

Onze actiedag van 30/01 voor het terugwinnen van de verlofdag, ons door de bestuursraad afgenomen;
Ter gelegenheid van de eerste vergadering waaraan Mevr. Houba, onze nieuwe voorzitster van de beheerraad, deelnam, hebben de afgevaardigden van de ACOD eraan gehouden haar persoonlijk te interpelleren over de door onze bestuursraad ingehouden verlofdag voor het nieuwe jaar 2018.
Tientallen onder ons hebben zich gemobiliseerd om haar duidelijk te maken dat de oriëntatie en de gemaakte keuzes van onze directie voor ons niet door de beugel kunnen. Wij hebben haar een open brief overhandigd, die jullie hieronder kunnen terugvinden en die jullie ook via deze link kunnen downloaden en verspreiden.
Wij rekenen erop dat Mevr. Houba een open dialoog met onze vakbondsafgevaardigden zal hebben, teneinde onze dagdagelijkse problemen gemeenschappelijk aan te pakken en alsook de legitieme eisen van het personeel tegemoet te komen.
Wordt vervolgd….
OPEN BRIEF VAN ONZE LEDEN VAN DE ACOD AAN MEVROUW DELPHINE HOUBA, NIEUWE PRESIDENT VAN DE BESTUURSRAAD VAN HET UVC BRUGMANN:
 
 30/01/2018
Mevrouw Houba,
Wij nemen de tijd U dit schrijven te richten om U allereerst welkom te heten in onze instelling als nieuwe voorzitster van de bestuursraad. De leden van de ACOD maken van de gelegenheid gebruik U te interpelleren en U hun wedervaren en legitieme eisen ter kennis te brengen.  
U neemt uw functie op na een periode van herhaaldelijke schandalen betreffende de vergoedingen van verschillende politieke mandatarissen bij de Brusselse openbare instellingen. Deze zaken hebben spijtig genoeg ook onze instelling gedurende jaren getroffen. Deze berichten hebben ons hier in Brugmann en in het IRIS-netwerk uiterst beroerd. Dit stond inderdaad hard in contrast met ons wedervaren en onze eigen salarissen.
 U heeft in een artikel in Le Soir verklaard dat het nog te vroeg was om uw doelstellingen te stellen en dat U tijd zou nemen om te luisteren en te observeren. De patiënt moet prioriteit hebben en dat Brugmann, als openbaar ziekenhuis, open moet staan voor alle patiënten.
 
Wij, als gesyndikeerde werknemers, zijn ervan overtuigd dat de patiënt in het centrum van onze belangstelling dient te staan en dat ons ziekenhuis een kwaliteitsvolle zorg moet toelaten aan allen. Opdat dit een werkelijkheid zou zijn en geen holle slogan, is het noodzakelijk dat de werkomstandigheden ook van kwaliteitsvol niveau zijn en dat ieder personeelslid zich goed zou voelen in zijn functie. We zijn echter van mening dat de laatste jaren de situatie erop achteruit is gegaan. Het aanhoudend probleem van onderbezetting, de steeds toenemende werkdruk en werkinspanningen, alsook het doof blijven van de bestuursraad voor de eisen van het personeel hebben de werksfeer serieus ondermijnd en hebben ook hun impact op de toegediende zorgen. Met andere woorden, wij zijn volledig uitgeput!!!
 
Onderbezetting en overuren :
Wij nodigen U uit de afdelingen te bezoeken en met ons te praten, de verschillende verslagen van de jaarlijkse bezoeken te lezen, die gewag maken van een chronisch personeelstekort in bijna alle diensten van onze instelling. Deze situatie is onhoudbaar en het antwoord van de directie is steeds hetzelfde: “Er is geen budget.”
Door het personeel steeds verder uit te persen is de toestand verwarrend geworden voor de werknemers maar ook vooral voor de patiënten die geconfronteerd worden met uitgeblust personeel. In kader hiervan dient het feit van het explosieve aantal overuren bij het personeel gezien te worden. Wij hebben echter geen precieze cijfers (de informaticalogistiek hieromtrent laat het ons niet toe) maar het aantal is zeer hoog, veel te hoog….
Het ergste aan de zaak is dat deze uren tot op vandaag niet beheerd worden, vergoed noch geherwaardeerd worden, zoals voorzien in ons arbeidsreglement. Reeds geruime tijd interpelleren wij de directie hierover die ons tot de dag van vandaag een redelijk antwoord verschuldigd is. Wij klagen deze, sinds reeds veel te lange tijd, georganiseerde roof door de directies aan.
 
Repressief management;
Wij komen bladzijden te kort om u de duistere attitudes van het management waartegenover wij staan, uit te leggen. Het systematisch onder druk zetten van het personeel blijkt de drijfveer te zijn van het grootste deel van onze oversten. Enige jaren geleden hebben wij verscheidene acties gevoerd om respect van onze verantwoordelijken te eisen…tot op vandaag zien wij spijtig genoeg geen verbetering; bedreigingen wanneer er een vakbond bij betrokken wordt, ongeoorloofde houding, chantage en dreiging van ontslag, ongeoorloofd gebruik van omstandigheidsrapport bij ieder doen en laten…
Zelden krijgen wij een woord van aanmoediging voor (goed) ons dagdagelijks werk!! Het is dus niet te verwonderen dat er een exponentiële stijging is van burn-outs, dat er een hoge turnover is in onze instelling en dat de psychosociale problematiek steeds aanzwelt…Het wordt meer dan tijd dat de directie duidelijke actie onderneemt tegen dit type van handelen!
 
Laag salaris en sociale programmatie:
In deze huidige, moeilijke context houden wij er aan U te interpelleren over de realiteit van ons salaris. Inderdaad, terwijl sommige van onze bestuursleden grote sommen geld binnen haalden gedurende de laatste jaren, hebben wij, leden van het personeel, onze sociale programmatie afgebouwd en afgeschaft zien worden door diezelfde individuen. Wij presteren ook meerdere onregelmatige prestaties, die zeer slecht betaald worden (oproepbare wachten, nachten, weekend…).
Er wordt steeds categoriek geweigerd om te onderhandelen over een revalorisatie van onze barema’s rekening houdend met het grote verschil tussen de onze en deze uit andere regio’s in het land van identieke openbare diensten. Uiteindelijk werken sommige van onze collega’s nog steeds onder graad E, wat een waardig bestaan in Brussel niet toelaat.
Wij hopen dan ook met u serieuze onderhandelingen hieromtrent aan te knopen en oplossingen te vinden met een perspectief van betere salarissen voor het geheel van de werknemers die aan onze instelling zijn verbonden. Wij rekenen ook op u voor het over brengen  en verdedigen van deze eisen bij de verantwoordelijken van de IRIS structuur.
 
Afschaffing van onze verlofdag
Terwijl de regering beslist over onmenselijke besparingen in de gezondheidssector, hebben wij een open discussie met onze directie gehad over de impact hiervan op onze instelling. Wij hebben erop gewezen dat, gezien de reeds zware omstandigheden voor de werknemers van onze instelling, wij geen enkele besparing op de rug van de reeds uitgebluste werknemer zouden dulden. De directie verzekerde ons van het feit dat er geen wil bestond tot besparing op de rug van de werknemer en dat alles zou gebeuren in samenspraak met de afgevaardigden van de werknemers.
Groot was dan ook onze verwondering op het eind van 2017 toen de directie ons het inhouden van een verlofdag aankondigde, echter zonder dit duidelijk naar het personeel toe te communiceren!  U kunt dus best wel begrijpen dat dit voor ons onaanvaardbaar is. Het is steeds aan dezelfde om onaanvaardbare sociale achteruitgang te moeten ondergaan. Het is voor ons dan ook duidelijk dat de directie zich sterkt in haar handelen met name steeds meer doen met minder middelen en minder personeel en nog minder (en het zijn er al zo weinig) sociale verworvenheden.
Wij merken op dat de bestuursraad een rare manier heeft om de werknemer te bedanken voor alle gedane moeite. Was het misschien de bedoeling om de werknemer, die het nu al zo moeilijk heeft om zijn verlofdagen op te nemen, hiervan te vrijwaren door hem reeds een verlofdag af te nemen??? Kortom, onze boodschap is duidelijk; houdt jullie rugzakjes en waardeloze geschenkjes en geef ons onze verlofdag terug!!!
 
Onze eisenbundel :
Mevrouw Houba, de pers stelt U voor als een progressief persoon. Iemand die vooruit wil ter verdediging van onze openbare ziekenhuizen. Weet echter dat vandaag in Brugmann er een mentaliteit heerst die meer weg heeft van een markthandel (cijfers, statistieken, …) en aanleunt bij een privémentaliteit dan wat dat nodig zou moeten zijn voor een publieke instelling. Trouwens de terminologie van “manager” en nog andere, die tegenwoordig gebruikt worden, getuigen van een steeds groter wordende ontmenselijking van onze instellingen. Sommige “manager” weerhouden zich ook niet om het personeel te overtuigen afstand te nemen van het “idee” openbare dienstverlening waar zij als werknemer steeds voor stonden en geijverd hebben.
Wij hopen dus dat uw aantreden een nieuwe en nodige frisse wind kan brengen bij de directie van onze instelling. Ziehier ter conclusie de eisenbundel die de ACOD  zo snel mogelijk met U wil bespreken:
 *Voor een echte kwaliteitszorg aan de patiënten, dringende aanwervingen van personeel aan het bed van de patiënt met een contract van onbepaalde duur! Geen flexijobs!
*Collectieve arbeidsduurvermindering met bijkomende aanwervingen en zonder salarisverlies!
*Herinvoeren van de sociale programmatie!
*Teruggave van de ons afgenomen verlofdag!
*Revalorisatie van de salarissen voor alle barema’s, met voorrang voor de lage salarissen. Afschaffing van graad E (overplaatsing naar graad D)!
*Serieuze herwaardering van de salarissen voor oproepbare wachten!
*De uitbetaling van onze overuren voorzien volgens het arbeidsreglement met retroactief effect!
*Respect voor alle werknemers, gedaan met het autoritair en repressief management!
 
Met onze militante groet,
Het comité van de ACOD Brugmann.

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